Il est 20h30 et je me sens seul(). Je suis heureu() de continuer à vivre, c'est un choix , faire pour rester sain().
Je me contrains à écrire, loin de tout genre hégémonique.
Encore une fois, répéter encore les mêmes choses, tourner les mêmes questions.
Encore encore et encore. La seule vérité que je conçois, c'est cette solitude qui m'envahit. Souvent, bien trop souvent. Elle est ma compagne, mon épaule et je sais que je peux lui faire confiance.
Elle ne me déçoit pas et la plupart du temps, je l'aime bien. Souvent elle me chérit, souvent elle m'apaise.
Elle me permet de trouver l'harmonie et de me surpasser, pour moi;
d'être fier(), pour moi;
d'être fort(), pour moi. Mais parfois, l'écho de ma voix qui rebondit devient trop envahissant.
Il me rappelle que je n'ai personne à qui vraiment confier, cet appel, Encore. Comme si les problèmes insolubles avaient besoin de l'être.
Comme s'ils ne pouvaient pas simplement me dire qu'il n'y en a pas.
Comme si le Simple est un luxe qui ne se mérite pas. Il est 20h30 et je suis seul().